Et si nous nous exercions à la calligraphie ?
Suite au décès de sa grand-mère, Hatoko hérite de la papeterie Tsubaki et revient vivre à Kamukara, sa ville natale.
Au-delà de la simple papeterie, la modeste boutique est aussi le lieu où s’exerce un art exigeant : celui de la calligraphie. Initiée par sa grand-mère, Hatoko a appris cette écriture dès son plus jeune âge et elle est devenue un écrivain public reconnu.
Par son métier, Hatoko est plongée au coeur de la vie de ses clients. Ils viennent frapper à sa porte afin de la solliciter pour différents écrits : condoléances, lettres de rupture, voeux… Avec soin et exigence, Hatoko choisit une plume, une nuance de couleur, des matières ou des caractères particuliers d’après la personnalité qu’elle perçoit de son interlocuteur. Avec application, elle écrit et envoie les correspondances.
La découverte de ce métier fascinant s’accompagne d’une initiation au voyage au coeur de la station balnéaire Kamukara, située au sud de Tokyo. Ce livre nous dévoile un Japon rythmé par les saisons successives, l’art culinaire et la calligraphie.
Si j’ai aimé l’immersion dans un Japon mêlant tradition et modernité, j’ai cependant été déçue par le style et par l’aspect assez convenu de l’intrigue.
Ma note :
Citation :
« Et maintenant que son corps avait disparu, elle continuait à vivre dans les calligraphies qu’elle avait laissées. Son âme les habitait. C’était ça, l’essence de l’écriture ».
Pour aller plus loin, la suite :
https://www.babelio.com/livres/Ogawa-La-Republique-du-bonheur/1244343
J’ai également aimé mais trouvé le fond assez prévisible, stéréotypé et manquant de poésie…. A la fin je m’ennuyais presque….😉
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Belle chronique qui donne plus envie de se mettre à la calligraphie que de lire ce livre. 🙂
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Un livre qui m a tellement déçue. Plein de stéréotypes et de bons sentiments limite niais ….
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