Un chant de Noël – Charles Dickens (1843)

Et si nous prolongions la magie de Noël ?

Dans ce conte, Charles Dickens propose que la féérie de Noël vienne humaniser les relations.

Ebenezer Scrooge est un être aigri, colérique et avare ; il préfère rester seul et évite tout contact avec autrui. Taciturne, il cultive un caractère exécrable vis-à-vis de son entourage, qu’il s’agisse de son employé ou de sa propre famille.

Dans la nuit de Noël, le fantôme de son ancien associé, Jacob Marley, lui apparaît. Il lui annonce que plusieurs esprits vont venir remettre en cause ses convictions. Ces apparitions successives convoquent son passé, son présent et son futur, et l’initient à l’empathie. Scrooge va alors percevoir le monde sous un nouveau regard. Comment cette nuit magique viendra-t-elle ébranler son existence ?

Malgré la richesse de l’écriture, qui promeut avec réussite les bons sentiments, ce texte ne m’a pas réellement émue. En effet, ce conte n’est pas parvenu à me transporter pleinement dans son univers onirique.

Ma note

Note : 2.5 sur 5.

Citations

« Par une heureuse, juste et noble compensation des choses d’ici-bas, si la maladie et le chagrin sont contagieux, il n’y a rien qui le soit plus irrésistiblement aussi que le rire et la bonne humeur ».

« Le brouillard et les frimas enveloppaient tellement la vieille porte sombre de la maison, qu’il semblait que le génie de l’hiver se tient assis sur le seuil, absorbé dans ses tristes méditations »

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