Et si nous comprenions deux femmes mystérieuses ?
Dans ce recueil, Honoré de Balzac met en lumière deux femmes évoluant dans un Paris mondain.
Au cœur d’un couvent Espagnol se cache une femme devenue religieuse. Pieuse et mutique, Soeur Thérèse cache un passé trouble. Derrière cette dévotion se dissimule une coquette, Antoinette de Langeais. Une femme à la beauté envoûtante qui règne sur les salons et côtoie les nobles familles du boulevard Saint-Germain. Pourtant, Antoinette a fui la vie mondaine. Un amour la relie à Armand de Montriveau, un marquis aventureux et passionné. Comment cette passion a poussé la Duchesse de Langeais à se couper du monde ?
La seconde nouvelle met en scène une autre femme, tout aussi mystérieuse. Lors d’une promenade aux Tuileries, Henri de Marsay un dandy parisien croise le regard d’une femme surnommée « La fille aux yeux d’or ». Elle est énigmatique et suscite l’intérêt du séducteur. Parviendra-t-il a la conquérir et à percer son mystère ?
Je n’ai malheureusement pas été totalement conquise par ce recueil. Si la plume talentueuse de Balzac dresse de beaux portraits féminins, je me suis perdue dans le fil narratif et je n’ai pas été complètement emportée par ces deux récits.
Ma note :
Citations :
« À mesure que l’on monte en haut de la société, il s’y trouve autant de boue qu’il y en a par le bas ; seulement elle s’y durcit et se dore »
« À Paris, la vanité résume toutes les passions ».